25 mars 2014

Si ta poésie est une ombre, laisse moi entrer dans ta lumière. Combien de chemin devant nous, nous n'aurons pas pris ? Combien de repos nous n'aurons pas goûté ? Fallait il que je crie pour que tu entendes ?
 Et j'ai faim d'aimer l'amour. D'étendre ma peau fine sur des draps de soie, sous des mains de velours.
 Et je tremble de mes désirs égarés dans des forêts d'émeraude. Là où la jouissance scintille précieuse. Là où tu as disparu, avant même de m'avoir trouvé.

1 commentaire:

Pépéhème a dit…

Il y a la part de l'autre, et aussi la part de soi. Il faut se parler longtemps avant de couper le gâteau ;-)